Seize heures par jour sur un chantier de construction n'est pas un exploit

À l'échelle d'un grand chantier, ces drames ne semblent pas si importants, à l'échelle d'un petit village géorgien — terribles. Comment se comporte la principale «personne de l'extérieur» — vazha? Il s'avère que lui, le destructeur des traditions, Découvre la tolérance sage, la compréhension des gens, la sympathie pour eux plus que d'autres gardiens locaux des coutumes. Chef stroyupravleniya affaires, mais pas agressif, il oblige les gens à obéir à leur volonté, mais ne les humilie pas, il refuse de suivre les habitudes et les opinions des autres, mais en même temps les respecte.

La famille otiashvili s'est opposée à la destruction de sa maison, ne voulait pas s'installer pendant un certain temps chez les voisins, a exigé qu'ils construisent d'abord une nouvelle maison. Sa femme crie avec colère «" je n'ai pas peur de vos pelles! Noircissez-moi comme vous voulez!"Même le président du kolkhoze, enclin, semble-t-il, à traiter avec indulgence les gens qui ont travaillé sur cette terre «pendant quarante ans, comme des bœufs», et celui-ci dit à Vaje qu'il gâte les gens en «dansant sous la main d'otiashvili». Et vazha sourit, traduit la conversation à une autre et agit à sa manière: il ordonne la construction d'une maison pour otiashvili. Et gagne une victoire morale: shakro otiashvili lui-même vient à lui et dit que la conscience ne leur permet pas de se tenir sur la route d'un grand et utile pour les gens de la construction.

Vous croyez au héros de schengel. Vous croyez qu'il consciemment, comprenant l'inévitabilité du changement de jalons, sert le nouveau, pensant avec tristesse parfois au charme et à la sagesse de l'ancien. Vous croyez qu'il passe seize heures par jour sur le chantier et que pour lui ce n'est pas un exploit, mais la seule forme naturelle possible de l'être. Vous croyez que lui et l'ingénieur sont très compétents — et non pas parce qu'il prononce de temps en temps des mots mystérieux sur la section des tuyaux et des volets et s'occupe personnellement de la distribution des camions à benne basculante. Le chef est bien compris par les subordonnés et le canal finit par être rempli d'eau au bon moment. Et quand vazha vient le jour du départ sur le vignoble à la vieille Sesika, qui a invité tant de fois avec insistance le chef à partager avec lui le pain et le sel, vient avec toute la famille, abandonnant le festin luxuriant du président de la ferme collective et directement sur la terre étalant le journal, célèbre ici sa victoire et

Ils lèvent des verres avec du vin propre, jeune et indigène, et vazha dit: «enfin, Nous pouvons nous asseoir et parler calmement de cœur.» Et Sesika lui fait écho: "et alors? Pas sans ça, pas sans ça. Il faut parler du mal et du bien. À vos souhaits! Soyez heureux..."Et moi, le spectateur, je pense à ce moment-là: c'est le vrai rapport harmonieux du travail et de la fête, le rythme tumultueux de la vie et de la paix d'esprit, qui éclate dans notre être de nouvelles traditions populaires soigneusement rapportées à nous. Homemade porn https://www.amateurest.com/ USA.

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